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Tandis que nombre de pays non-alignés prônent un cessez-le-feu et une négociation, Emmanuel Macron a cherché, mercredi 12 octobre sur France 2, à confirmer le soutien de la France à l’Ukraine, sans fermer la porte à un éventuel dialogue avec Moscou quand Kiev l’estimera possible. « A un moment donné ce sera de l’intérêt de l’Ukraine et de la Russie de négocier, a dit le chef de l’Etat. Ce n’est pas à nous de décider pour l’Ukraine, nous ne l’aurions pas accepté de nos alliés. »

A ce jour, Emmanuel Macron n’est pas en position de jouer les médiateurs, ne serait-ce que parce que la France, sans être en guerre avec la Russie, soutient l’Ukraine. Le président russe Vladimir Poutine « doit cesser cette guerre, respecter l’intégrité territoriale de l’Ukraine et revenir autour de la table des discussions », a répété M. Macron. Il a cependant défendu son souci constant de parler quand nécessaire au chef du Kremlin, en particulier sur des sujets comme le sort de la centrale nucléaire de Zaporijia, occupée et annexée par les Russes.

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